Librairie Pierre Saunier

L’Annonciation. RomanL’Annonciation. Roman L’Annonciation. RomanL’Annonciation. Roman L’Annonciation. RomanL’Annonciation. Roman L’Annonciation. RomanL’Annonciation. Roman L’Annonciation. RomanL’Annonciation. Roman L’Annonciation. RomanL’Annonciation. Roman

Isarlov (George).
L’Annonciation. Roman. Illustré par E. Chimot, A. Dignimont, N. Gontcharova et M. Larionow (sic).

Paris, Société d’Édition et de Librairie Henri Reynaud, 1925 ; in-12, broché. 245 pp. non compris quatre dessins h.-t. (& un cul de lampe).

450 €

Édition originale.

Envoi a. s. : A Serge Ivanoff, en espérant le voir tourner vers la gauche. Bien sympathiquement, Isarlov 16-11-25

Roman en grande partie autobiographique (croyons-nous) évoquant les milieux artistiques et cosmopolites parisiens des années 20. George Isarlov (1897-1978), dit Isarlo, journaliste et critique d’art d’origine iranienne, était proche de Picabia (il lui consacre une brochure en 1929) comme des illustrateurs de L’Annonciation à qui il consacre des pages sans filtre.

L’art moderne, les bars, le Jazz, les drinks et la vie mondaine – Paris est une fête – et du sexe sans ambages. A ce propos, une douzaine de pages censurées ont des petits cartons collés sur « les passages incriminés » pour en rétablir le texte (pages 36, 47, 50, 66, 67, 74, 118, 119, 120, 130, 218, 219, 234) – c’est Isarlov qui tient la colle d’où la mention de sa main sur la bande annonce conservée : édition complète – des placards qui valent bien le tardif consommé de choux-fleurs à Raymond ... (L’Apprenti – 1946).

Serge Ivanoff (1893-1983), peintre d’origine Russe, se réfugia en France après la révolution bolchévique – il eut une belle réputation de portraitiste.

Certainement rare ainsi.